Deuil pathologique : 10 signes que vous n’arrivez pas à avancer
Le deuil est un processus intime qui se compose de cinq étapes importantes. Il est différent pour chaque personne, et peut être différent pour chaque personne et durer plus ou moins longtemps. La phase de deuil qui dure plus d’un an n’est pas nécessairement le signe d’un problème de santé. Si des symptômes physiques ou psychologiques sont évidents, on parle de deuil pathologique. Cela peut provoquer des tensions supplémentaires, allant même jusqu’à mettre la personne en danger, ce type de douleur ne permet pas à la personne d’avancer dans sa vie, et l’empêche de se reconstruire.
Découvrez dans cet article 10 indicateurs que vous souffrez d’un deuil pathologique.
Résumé de l’article
- Qu’est-ce qu’un deuil pathologique ?
- Quels sont les indicateurs d’un deuil pathologique ?
- Signe 1 : états anxieux
- 2. Signe 2 : traumatisme de séparation
- 3 : symptômes physiques. 3 : symptômes physiques
- 4 : culpabilité aggravée. 4 : culpabilité exacerbée
- 5. Signe 5 : épisodes mélancoliques
- 6. Signe 6 : épisodes maniaques
- 7 : Signe 7 : troubles de la dépendance
- 8 : Signe 8 : comportements à risque
- 9 : isolement majeur 9 : isolement majeur
- Signe 10 : décompensation névrotique
Quelle est la définition du deuil pathologique ?
Le deuil pathologique est une maladie qui survient lorsque la personne endeuillée manifeste les symptômes d’une maladie mentale ou physique dont elle n’avait pas conscience auparavant.
Le processus de deuil peut être causé par un processus de deuil difficile, dans lequel les étapes du deuil peuvent être confondues au lieu d’être synchronisées. Il est également possible que la personne n’ait pas été en mesure de suivre les phases du deuil comme elle le pensait.
Si le deuil se prolonge et que les étapes durent longtemps, ou que le déni ne s’arrête pas, on parle de deuil compliqué ou bloqué. Mais ce type de deuil n’est pas une voie vers un trouble psychosomatique ou somatique. Alors que le deuil complexe peut durer toute une vie, le deuil pathologique peut détruire.
Un deuil pathologique peut également déclencher et accélérer des maladies mentales déjà présentes chez le patient.
Bon à savoir .
Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) ne fait pas référence au deuil pathologique, mais au deuil compliqué et persistant, un sujet sur lequel il faut poursuivre les recherches.
Quels sont les indicateurs d’un deuil pathologique ?
La perte d’un être cher peut avoir déclenché un choc émotionnel intense que l’on peut décrire comme un raz-de-marée. En réponse, une décompensation psychique peut survenir et provoquer des psychoses ou des troubles somatiques.
Certains indicateurs sont propres aux deuils à caractère pathologique :
- L’anxiété est un état d’esprit.
- Les traumatismes de séparation
- Les symptômes physiques
- Culpabilité exacerbée
- Épisodes mélancoliques
- Épisodes maniaques
- Troubles addictifs
- Comportements à risque
- Isolement majeur
- Décompensation névrotique
Il n’est pas nécessaire de présenter tous ces symptômes pour être diagnostiqué comme souffrant d’un état appelé « deuil pathologique ». Cependant, il est très probable que vous présentez certains d’entre eux.
Signe 1 : états anxieux
Les troubles liés à l’anxiété font partie des troubles psychologiques qui peuvent survenir au cours d’un deuil pathologique. Les symptômes de l’anxiété se manifestent par une anxiété généralisée ou des attaques de panique.
Si vous avez assisté au décès d’un être cher ou si la disparition d’un proche s’est produite dans le contexte d’un événement traumatisant (lors d’un attentat, d’un accident ou d’une guerre par exemple), vous pourriez souffrir de certains symptômes du trouble anxieux post-traumatique :
- Des troubles du sommeil ;
- Irritabilité ;
- Insuffisance de la mémoire et troubles de la concentration ;
- Revivre l’événement
- Hypervigilance (vous êtes toujours sur le qui-vive) ;
- Détachement,
- Affects figés ;
- Évitement de toute situation qui pourrait déclencher des souvenirs du traumatisme ;
- Sentiment que l’avenir n’a pas d’importance.
Les troubles anxieux sont assez courants dans la phase de deuil. Cependant, leur durée et leur sévérité intensifient les symptômes d’un deuil pathologique. Ils sont souvent liés au traumatisme causé par la séparation.
C’est bon à savoir.
Certains facteurs de risque peuvent provoquer un état anxieux, et le risque d’un deuil pathologique :
- La perte d’un conjoint ou d’un enfant ;
- Le décès des parents d’un enfant
- La relation avec le défunt était intense ou conflictuelle.
- Le décès est survenu brusquement ;
- La perte a été soudaine ;
- Les circonstances entourant le décès (suicide ou meurtre, ou suicide…) ;
- Le contexte psychiatrique et la personnalité de la personne endeuillée ;
- Un environnement familial hostile.
2 : un traumatisme de séparation. 2 : un traumatisme de séparation
Un deuil ayant une cause pathologique peut être douloureux et déclencher dans votre vie quotidienne toute une série de symptômes qui résultent du chagrin que vous éprouvez à cause de cette séparation.
Le traumatisme de séparation est déclenché si vous étiez en relation étroite avec la personne disparue ou décédée. Par exemple, le décès d’un enfant peut provoquer un choc émotionnel et traumatisant.
Si vous vivez un deuil traumatisant, voici un aperçu des faits et des émotions que vous ressentez probablement :
- Vous n’arrivez pas à accepter la perte ; vous êtes dans le doute ;
- Vous croyez que la vie n’a plus de sens, ou vous croyez que votre avenir n’a pas de sens ;
- Vous avez l’impression d’avoir perdu une partie de vous-même dans ce deuil ;
- Vous êtes bombardé de pensées dérangeantes de la personne décédée ;
- Vous vous sentez en danger et peu sûr de vous ;
- Vous avez l’impression d’avoir perdu le contrôle de vos propres actions ;
- Vous recherchez la personne décédée ;
- Vous êtes en colère, amer et irritable.
- Vous ressentez un sentiment de solitude.
- Vous vous sentez déconnecté ; Vos émotions semblent figées.
Ce traumatisme émotionnel et les symptômes qui en découlent se manifestent pendant au moins six mois après le décès. Il changera radicalement votre vie sociale et professionnelle, ainsi que tous les autres aspects de votre vie qui sont importants pour vous. Un tel choc émotionnel peut renvoyer votre esprit à des traumatismes antérieurs, et vous faire ressentir à nouveau des peurs liées à l’abandon ou à la sensation d’être méprisé. Des symptômes physiques peuvent s’ajouter à cet état.
3 : Symptômes physiques. 3 : Symptômes physiques
Le deuil a un effet direct sur votre bien-être physique.
Il est normal d’éprouver de la somnolence ou de perdre du poids pendant le travail de deuil classique. Le corps est susceptible de subir des changements liés au stress : par exemple, le système immunitaire peut être renforcé.
On constate une augmentation de la mortalité au cours des deux années qui suivent le décès d’un être cher. Syndrome du cœur brisé : crises cardiaques, cœurs brisés ou accidents vasculaires cérébraux : leur risque est décuplé après le décès d’un proche.
Le fait d’être moins attentif à sa santé (alimentation déséquilibrée, absence d’exercice physique ou prise excessive de substances) affecte le mode de vie et peut jouer un rôle important dans la progression des maladies.
Certaines personnes développent des croissances cancéreuses et tumorales en raison des changements de mode de vie induits par le décès d’un proche : augmentation de la consommation d’alcool ou de cigarettes par exemple.
Les maladies cardiovasculaires, les ulcères, les maladies coronariennes peuvent survenir en raison d’un deuil bloqué. Chez certaines personnes, la somatisation est risquée, voire mortelle ; dans le cas du deuil histrionique et de troubles similaires, la somatisation des proches du défunt est possible.
Si vous avez développé des symptômes ou si vous souffrez de la même maladie que celle qui a affecté le défunt que vous pleurez et dont vous souffrez, alors vous êtes probablement physiquement accablé par le deuil.
Mais n’oubliez pas que vous pouvez souffrir de maladies et de troubles somatiques qui ne sont pas liés à la pathologie du défunt, et que vous n’avez jamais eus auparavant, comme la perte de cheveux, l’eczéma ou des douleurs aiguës dans certaines régions… Dans cette situation, il est important de consulter d’abord votre médecin.
Cela peut être attribué au fait que vous êtes profondément englouti dans un sentiment de culpabilité.
4. Signe 4 : culpabilité exacerbée
Sur le plan émotionnel, la tristesse liée à un grief pathologique devient envahissante et peut provoquer une véritable détresse émotionnelle qui peut affecter tous les aspects de notre vie.
Vous pouvez ressentir un fort sentiment de culpabilité (pas nécessairement lié directement à votre perte) et vous sentir responsable de divers problèmes quotidiens.
Au fil du temps, des ruminations commenceront à s’installer, qui n’ont pas nécessairement de rapport avec la personne décédée. Une tendance à l’autodépréciation est alors déclenchée, ce qui peut avoir un impact négatif sur votre estime de soi.
Plus le temps passe, plus votre ego souffre et plus il vous est difficile de maintenir votre esprit dans un état d’esprit positif. Cela peut provoquer des épisodes de mélancolie qui sont les signes d’un deuil qui n’est pas entièrement résolu. La thérapie est une méthode qui permet de se débarrasser de ce comportement culpabilisant et de reprendre confiance en soi.
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5. Signe 5 : épisodes mélancoliques
On parle également d’épisode dépressif majeur. Dans tous les deuils, il y a une phase de dépression « normale » qui fait partie des étapes du deuil. C’est généralement celle qui dure le plus longtemps.
Cependant, si les symptômes de la dépression ne sont pas liés à l’expérience du deuil et se transforment en une maladie à part entière, il s’agit d’une complication émotionnelle, et donc d’un deuil pathologique.
D’autres manifestations peuvent être liées à cet état dépressif qui peut être extrêmement difficile à gérer :
- Votre estime de soi est fortement diminuée ;
- Les fonctions de votre corps sont au ralenti.
- Votre culpabilité est amplifiée ;
- Vous avez des idées noires ;
- Vous avez l’impression de ne pas être digne d’exister ;
- Vous ressentez un sentiment de culpabilité ;
- Vous êtes capable d’éprouver des pensées délirantes (les hallucinations concernant le défunt priment sur les « impressions » normales).
Dans le cas d’un deuil pathologique, des épisodes maniaques peuvent survenir à la suite de symptômes dépressifs. Si les épisodes persistent longtemps et ne sont pas traités de manière appropriée, la dépression s’aggrave et la mélancolie, qui peut être fatale, commence à prendre le dessus.
6 : Épisodes maniaques. 6 : Épisodes maniaques
La manie du deuil ressemble beaucoup à un épisode maniaque ordinaire.
C’est une réaction qui est brève, au cours de laquelle votre humeur est élevée et expansive. L’état maniaque ne se manifeste pas toujours immédiatement après la perte, mais il peut y avoir un temps de latence pendant lequel vous semblez essayer de faire face aux circonstances.
Cet épisode extrême est souvent lié à un déni extrêmement intense de la mort. Vous n’êtes plus déprimé et vous êtes dans un état d’excitation extrême. Le déni s’accompagne de pensées d’omnipotence ou l’illusion du mysticisme est possible.
Il est possible que vous soyez incapable d’accepter les effets émotionnels de votre perte, ce qui peut entraîner une absence de douleur et une mégalomanie ainsi qu’une envie de triompher de la mort. L’état se transforme alors en une humeur triste, voire mélancolique et culpabilisante.
Pour apaiser ces états émotionnels, certaines personnes endeuillées vont se plonger dans l’utilisation de produits nocifs. D’autres ont tendance à combler le vide en s’engageant dans des relations malsaines et déséquilibrées.
Signe 7 : Troubles de la dépendance
Les addictions sont l’un des signes les plus fréquents d’un deuil non résolu. Pour faire face à cette perte difficile, vous vous êtes peut-être tourné vers la dépendance. Pour soulager la douleur émotionnelle que vous jugez trop difficile à gérer à la suite de la perte Vous avez peut-être commencé à boire en excès, à fumer des cigarettes ou à prendre des substances sur ordonnance.
Il est essentiel de réaliser que toutes les personnes ne deviennent pas dépendantes. Il s’agit d’un terrain fertile pour chaque individu, où se mêlent les antécédents génétiques et personnels qui entrent en jeu avant l’apparition de la dépendance. Le deuil et la perte sont les principaux déclencheurs des troubles de la dépendance.
Il est tout à fait normal, en période de perte, de chercher du soutien et d’essayer différentes solutions, notamment en utilisant certaines méthodes pour se détendre.
En réalité, certaines situations de deuil nécessitent la prise de médicaments, par exemple des somnifères ou des antidépresseurs, pour servir d’aide chimique pendant une courte durée.
Si votre consommation d’une substance devient régulière et que vous ne savez pas quoi faire, jetez un coup d’œil. Vous souffrez certainement d’une dépendance, en particulier lorsqu’il est difficile d’arrêter, quel que soit l’impact négatif que la substance peut avoir sur votre mode de vie (sur votre santé, mais aussi sur votre travail et votre famille, et sur votre compte bancaire).
La dépendance est une pathologie cérébrale qui a des répercussions physiques et psychologiques, mais elle peut être traitée par une thérapie appropriée.
Lorsque nous entendons le mot « addictions », nous pensons généralement à la dépendance aux substances. Cependant, votre dépendance peut être le résultat d’une activité qui n’est pas une substance psychoactive. Les addictions aux jeux d’argent, aux sports, au sexe ou aux jeux vidéo n’en sont que quelques-unes.
Le plus important est votre capacité à arrêter cette pratique dangereuse : si vous n’y arrivez pas, c’est que vous êtes probablement dépendant. Soyez vigilant, car ce risque constant pour votre santé entraîne souvent des comportements à risque : cliquez ici pour en savoir plus.
8. Signe 8 : comportements à risque
Lorsqu’une personne est en deuil, il est normal d’éprouver les pensées les plus sombres en lien avec la douleur intense ressentie ; toutefois, cela n’est que peu fréquent, et à la marge. Si toutefois ces idées suicidaires persistent plus longtemps que d’habitude et entraînent des comportements à risque, la question du deuil pathologique doit être envisagée.
Suicide par mise en danger, comportement hétéro-agressif refusant de s’alimenter : Les réactions à la perte d’un être cher vont prendre des proportions incontrôlables en cas de deuil. Les personnes qui sont veuves risquent davantage de se briser et de se blesser.
Si votre désir de mourir pour être avec le défunt est toujours plus grand et que vous allez toujours plus loin dans vos pensées et vos croyances, ne soyez pas gêné ou embarrassé.
En revanche, il est essentiel d’en parler le plus rapidement possible à une tierce personne expérimentée ou à un expert : votre médecin de famille ou votre psychologue, ou encore un prestataire de services de santé au travail. Ne remettez pas à plus tard le fait de vous faire aider, il existe des solutions pour vous aider à vous reconstruire. Ne restez pas seul face à votre chagrin. De nombreux traitements, comme la thérapie cognitivo-comportementale ou l’EMDR, sont parfaits pour vous dissocier de la charge émotionnelle de ce deuil.
9 : Isolement majeur. 9 : Isolement majeur
Si vous souffrez d’un deuil pathologique, vous avez probablement décidé de vous éloigner de votre cercle social et de vivre un isolement sévère qui dure plus d’un an. En réalité, le changement de votre comportement à la suite d’une perte est normal, à condition qu’il ne dure pas longtemps.
Les humeurs aigres et agressives que vous ressentez, associées à la difficulté de mettre votre argent dans des interactions interpersonnelles ou des activités vous inciteront à vous tenir à l’écart. Cette situation est extrêmement difficile à vivre, surtout dans le cas où vous êtes de nature sociale et préférez communiquer et partager vos pensées avec d’autres personnes. Vous ne pouvez plus avoir de contact avec les membres de votre famille, et il n’y a plus de partage au sein du couple.
Cette rupture sociale peut conduire dans certains cas à une confusion identitaire. Vous ne savez pas ce que vous êtes et quel rôle vous jouez dans le monde et vous pouvez même avoir le sentiment d’avoir perdu un aspect de vous-même qui a été perdu avec la personne décédée. Vous êtes incapable de vous imaginer dans divers domaines de votre vie. Vous ne pensez pas aux amitiés ou aux relations amoureuses de la même manière que si vous souffriez d’une perte d’amour.
Vous êtes également incapable de faire confiance aux gens ; vous vous sentez désengagé et une partie de votre monde vous manque comme si vous souffriez d’un épuisement des autres. Votre vie n’a plus de sens depuis le décès de l’être aimé. Vous vous sentez vide et seul, ce qui est immuable.
Ce type d’isolement, lorsqu’il est associé à une structure psychologique plus faible, augmente le risque de souffrir de décompensation.
Signe 10 : Décompensation névrotique
Il s’agit d’un problème psychologique qui peut être déclenché par le processus de deuil. Elle survient lorsque les bases mentales de la personne sont affaiblies. On peut reconnaître deux types de décompensation névrotique.
En ce qui concerne le deuil histrionique, les manifestations sont les suivantes :
- Vous déclarez un désir de retrouver la personne décédée ;
- Vous présentez des comportements autodestructeurs, comme des tentatives de suicide ; cependant, vous faites également preuve de négligence et de mépris pour vos besoins les plus importants.
- Vous ne voulez pas lâcher le défunt ; Vous pouvez lui parler, et faire comme si le défunt était toujours vivant.
- Vous êtes empêtré dans une identification incontrôlable et morbide. Des symptômes similaires apparaissent et se manifestent sans pensée consciente, vous prenez son apparence, ou les caractéristiques de sa personnalité ;
- L’état dépressif dans lequel vous vous trouvez ne prend pas fin et reste prolongé.
Le deuxième type de décompensation est un deuil obsessionnel.
Au début, ce stade est affecté par la culpabilité, et le deuil est caché et non exprimé. Puis plus tard :
- Vous présentez une anhédonie, une asthénie et même une déprime ;
- Vous refoulez constamment votre culpabilité, vous vous critiquez continuellement ;
- Des pensées et des idées obsessionnelles et obsédantes surgissent comme des images de mort.
Le processus de deuil est entravé par des blocages obsessionnels. Les effets sont figés pour se protéger des bouleversements émotionnels. Les symptômes dépressifs sont très sévères et durent longtemps. Ces signes de deuil non résolus affectent tous les aspects de la vie.
Bon à savoir.
Symptômes mélancoliques, somatisation, troubles de l’anxiété, mise en danger, voire dépendances. Le deuil peut, dans certains cas, prendre une direction pathologique.
En outre, il entrave l’efficacité du deuil ; l’esprit et le corps sont également malmenés. Pour se libérer d’un deuil chronique et réussir à aller de l’avant, une intervention psychothérapeutique (parfois couplée à un traitement médical) est indispensable.